CD-i

Nom EU : CD-i ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎
Type de système : Console
Extensions de ROM : bin,cue,iso,nrg,wav
Date de sortie : 1991 ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎Date de fin : 1997
Caractéristiques Techniques

  • CPU : Motorola 68070 à 15,5 MHz

  • Coprocesseur(s) : puce vidéo Philips SCC68070 + divers ASIC pour le multimédia

  • Mémoire : 1,5 Mo RAM (selon modèle), 8 Ko NVRAM pour sauvegardes

  • Vidéo : 384×280 à 768×560 pixels (selon mode), affichage basé sur tuiles

  • Couleurs : 16,7 millions possibles, jusqu’à 16 000 simultanément

  • Son : puce Philips CD-i LPCM 16 bits stéréo, échantillonnage jusqu’à 44,1 kHz

  • Support(s) : CD-i (650 Mo), compatible CD Audio, CD+G, Photo CD (selon modèle)

Succès et héritage

  • Ventes mondiales : environ 1 million d’unités

  • Le CD-i n’a jamais percé comme console de jeu, souffrant d’un positionnement flou entre multimédia et divertissement interactif. Ses adaptations de licences Nintendo (Mario, Zelda) sont devenues célèbres pour leur mauvaise réception critique, mais ont acquis un statut culte. Malgré son échec commercial, il reste un objet de collection prisé, témoin d’une période d’expérimentation multimédia. Quelques rééditions de ses titres les plus célèbres circulent via compilations et la scène rétroactive en préserve la mémoire.

Emulateurs compatibles :
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Description :

Le Philips CD-i (Compact Disc Interactive) est lancé en 1991 en Europe, puis en 1992 aux États-Unis et au Japon. Conçu initialement comme une plateforme multimédia domestique plutôt qu’une console de jeu, il visait à exploiter le standard CD-i défini par Philips et Sony. Ses principales concurrentes indirectes furent la 3DO, la Neo Geo CD et plus tard la Sega CD, mais son positionnement hybride l’a souvent laissé en marge du marché purement ludique.

Jeux emblématiques :