CPU : Motorola 68000 à 7,16 MHz (Amiga 1000 / 500)
Coprocesseur(s) : chipset graphique Agnus, Denise, Paula (puis ECS / AGA selon modèles)
Mémoire : 256 Ko à 2 Mo de RAM selon modèle
Vidéo : résolutions 320×256 à 640×512, modes entrelacés et overscan
Couleurs : 4096 possibles (HAM), 32 affichées (jusqu’à 256 sur AGA)
Son : 4 canaux PCM 8 bits stéréo, échantillonnage jusqu’à 28 kHz
Support(s) : disquettes 3,5″ (880 Ko), disque dur optionnel, cartouches ou CD (CDTV, CD32)
Ventes mondiales : environ 5 à 6 millions d’unités (tous modèles confondus)
L’Amiga a marqué une génération par sa supériorité multimédia, bien avant l’ère des PC multimédias. Il a été un outil phare pour la création graphique, musicale et vidéoludique. Malgré la faillite de Commodore en 1994, son héritage perdure à travers une communauté active, des rééditions mini (The A500 Mini) et des projets open source visant à préserver son architecture unique.
L’Amiga est une gamme d’ordinateurs domestiques développée par Commodore et lancée en 1985 avec l’Amiga 1000. Positionnée entre micro-ordinateur et station multimédia, elle se distingue par ses capacités graphiques et sonores avancées. Ses concurrentes directes furent l’Atari ST, le Macintosh et les PC compatibles IBM. Les modèles les plus connus incluent les Amiga 500, 1200 et 4000.
